Les problèmes de terrain peuvent donner du fil à retordre aux doctorants !!! Recueillir des données à tout prix, parfois même au péril de leur vie (si si !), les internautes m’ont fait part de leurs difficultés sur le terrain. Ils se débattent, il se démènent, ils s’accrochent, ils usent de stratégies, ils suent beaucoup mais ils n’abandonnent jamais : Treeeemblez devant leur détermination ! Et vous, quelle est votre Jokerisation ? Quelques anecdotes de facekookien-ne-s ici.
L’équivalent du terrain en sciences dures, ce sont nos expériences. Et là, du Joker, il y en a aussi une floppée. Certaines auxquelles je pense comme ça rencontrées autour de moi: un produit essentiel pour la thèse qui n’est plus commercialisé après la première année, une manipe qui tombe en panne et demande 6 mois d’interventions (pour une thèse concentrée sur le domaine expérimental bien sûr), des protocoles publiés pour synthétiser le produit d’étude qui sont irreproductibles… Et je passe sur les produits toxiques pour les chimistes qui nous font perdre quelques années de durée de vie!
Je pense que le terrain en sciences humaines/sociales, c’est vraiment le pendant expérimental du physicien!