Matthiesen et Binder (2009) parlent du syndrome de Stockholm en désignant la thèse comme le ravisseur auprès duquel le jeune chercheur s’accroche. TU ME SAOULES!!!! j’en ai marre de toi, j’en ai marre de voir ta gueule !! j’ai besoin d’air, j’étouffe!!! DEGAGES grosse *biiip* de *bip** à la *biip* 😈!!!!!!!!!! Non non NOOOOON ne pars pas ne pars pas… je t’en supplie… tu me manques déjà… 😳 qu’est-ce que je vais devenir sans toi?? Chers doctorants, AVOUEZ votre sentiment ambivalent, ce sera votre premier pas vers la guérison 😀
Oui… je reconnais
Hé hé, c’est tout moi!
Je dis à mes amis que la thèse, c’est comme « a bondage party »! ahahha
Tks to share! On se sent moins seul! lol